Présentation de Topaz

Topaz est une jeune Evoli encore au stade de l'enfance. Sa fourrure brun-clair/roux est assortie a ses yeux ambrée. En effet la jeune enfant n'est pas shyni, demi-shyni ou quoi que se soit, elle est normale. Malgré son aspect commun, quelques détails la différencie des autres de son espèce : Topaz est légèrement plus petite et légère que la moyenne, elle se déplace gracieusement, mélangeant grâce et souplesse et sa voix cristalline est un plaisir pour les oreilles.

Marquée par la mort de sa mère et habitée par un désir de vengeance, Topaz s’entraîne dur pour devenir meilleure. En dehors de cette vie martiale, la petite Evoli sait se montrer sympathique et cherche les contacts positifs avec les autres. Vive, enjouée et insouciante, Topaz saurait faire fondre n'importe quel cœur avec ses grands yeux, son sourire et son rire joyeux. Gênée, elle rougis facilement. L'Evoli a également l'habitude de remplacer les mots normaux par des mots composés de son invention, grâce à sa grande imagination. ( ex : soleil = Boule-de-feu-dans-le-ciel / herbe = Fourrure-du-sol / etc...)

Topaz est née, avec sa mère dans une grande forêt. Son premier souvenir est la chaleur de cette mère bien mystérieuse. C’était une belle Givrali au regard infini comme l'océan, portant un petite cicatrice sous l’œil droit. Topaz ne savait pas grand chose de son père. Lorsqu'elle demandais,
« Comment était-il ? » Sa mère lui répondait,
«  Il avait un regard de braise et un cœur d'or ... »
C’était tout ce que la jeune Evoli savait. Elle avait bien essayer de poser d'autre questions, mais la belle Givrali se refermait comme un Coquillas.

Les jours, les semaines passaient et la douce maman se mit a enseigner a Topaz ce qu'elle devait savoir pour la totalité de sa vie : Les meilleures techniques pour chaque type de proie, que faire dans certaines situations extrêmes ( Topaz frissonnait rien qu'a l'entendre parler de cette voix calme et détachée des dangers de la vie ), l'art du combat, de nouvelles attaques mais aussi comment masquer habilement ses sentiments lors d'une bataille serrée ou intimider ses adversaires avec des gestes précis. La douce mère lui appris également à danser et à chanter et l'apprentie en herbes adorait ça ! Tout n'était pas au point mais Topaz progressait vite.

Les mois et les année passèrent à leurs tour et vint le moment ou la Givrali lui demanda en quoi elle aimerait évoluer. Topaz, qui aimait sentir le vent sur son visage et voir le monde d'en haut, demanda si une évolution avec des ailes existait car c’était son rêve le plus chère. Sa mère se moqua un peu d'elle et lui répondit que c’était impossible. Mais Topaz n'arrivait pas se décider. Sa gardienne pensa qu'elle était encore jeune et qu'il fallait lui laisser du temps et le soir même toutes deux partirent chanter au clair de lune. Bientôt, elles entamèrent le chant préférer de l'Evoli

You are my sunshine, my only sunshine,
You make me happy, when sky are grey,
I never say how much I love you,
But please dont take my sunshine away...
Dont take my sunshine away...

Elles se mettaient d'accord sur la deuxième chanson, lorsque un bruissement provenant des buissons derrière eux attira l'attention de la mère. Son regard devint de glace et elle ordonna à Topaz de rester la sagement tandis que la Givrali se dirigeait vers la source du bruit. Sage, Topaz attendit assise bien droite. Des bruits de lutte lui venait des arbustes. Puis tout s’arrêta ... Ne voyant pas sa maman revenir, la jeune Evoli passa timidement sa tête entre les branches du buissons. L'odeur métallique du sang régnait. Dans l’obscurité, Topaz vit la silhouette pale de sa mère allongée sur le sol.

/!\ Peut être choquant :

L'Evoli resta figée, puis elle vit un faible mouvement soulever les côtes de la blessée.
-  «  Maman ? Fit faiblement Topaz tout en s’avançant un peu.
-P... Pars très loin... N'oublie... j.. amais que je t'aime ...... Ma chérie. Articula-t-elle avec difficultés.
-Non.. Mère ! »
Mais la lueur de vie dans ses yeux bleu océans c’était déjà éteinte, pour toujours...

Ensuite Topaz ne sus plus très bien se qui se passait. Elle courut longtemps, très longtemps, plus que ses jeunes pattes le pouvaient. Puis, une vive douleur à l'articulation de la patte arrière droite et après le noir.

Lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle était allongée sur le sol dur et la douleur était toujours là. Eblouie par le soleil, une ombre se détachait devant la vive lueur. Une ombre de Lucario...

L'épopée continue ...

(Merci d'avoir lu, j'ai passer plusieurs heures dessus !)

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